*Document non contractuel. Voir conditions en agence
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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
L’ouverture de la ligne B du métro de Rennes est attendue par un grand nombre de personnes. D'une
part, les riverains l’attendent impatiemment afin de pouvoir l’utiliser pour leurs trajets quotidiens. De l’autre,
les investisseurs dans l’immobilier neuf à Rennes ayant investi à proximité d’une station de la ligne B attendent sa mise en marche pour voir
l’attractivité de leur bien augmenter. Ces nouveaux retards sont dus à des problèmes techniques. Ils devraient être
réglés au plus vite, le projet ayant de nombreux enjeux pour la municipalité. Une nouvelle date devrait être donnée
au début du mois de juin.
Ouverture de la ligne B du métro de Rennes : de nouveaux retards
L’ouverture de la ligne B du métro de Rennes, déjà reportée à deux reprises, connaît un nouveau
retard. Des problèmes techniques délaient encore sa mise en service, jusque-là prévue entre fin avril et fin mai.
Ils seraient relatifs au système de guidage du métro, ainsi qu’à leur système de “réveil automatique”.
Un nouveau retard, une nouvelle date proposée en juin
La mise en marche de la ligne B du métro de Rennes, ce n’est pas pour tout de suite. De nombreux rennais, qui
attendaient impatiemment le déploiement de ce nouveau moyen de transport, ont été déçus par la nouvelle. Celle-ci a
été annoncée par la Ville de Rennes et le constructeur Siemens Mobility France au cours d’un point d’étape relatif
au projet ayant eu lieu ce mardi 10 mai 2022.
La marche à blanc du métro, originellement prévue en janvier, avait été retardée au 15 mars. Cela n’a permis de
repérer que trop tard les problèmes techniques liés à la circulation du nouveau modèle de métro choisi par Rennes.
La mise en service avait déjà été reportée de décembre 2020 à l’été 2021, puis à début 2022. Le constructeur Siemens
France s’est engagé à donner une nouvelle date de livraison “au début du mois de juin”*.
Des problèmes dus au système de guidage automatique
Les problèmes retardant la mise en service du métro de Rennes seraient liés à son fonctionnement automatique. En
effet, la ville de Rennes a opté pour un système de métro complètement autonome, pouvant être guidé à distance, au
contraire du métro Parisien requérant des conducteurs. C’est la première fois que le nouveau modèle de métro de
Siemens, Cityval, est mis à l’essai. L’entreprise a ainsi admis, au printemps, avoir “sous-estimé les délais face à
la complexité du système”*.
Les problèmes identifiés par Siemens seraient liés à une partie du système de guidage des rames, les “galets de
guidage”. La question du “serrage” serait la source du problème selon la maire de Rennes, Nathalie Appéré. Des
réglages sont donc en cours. De même, des problèmes persistent au dépôt par rapport au “réveil des trains”. Ils
devraient démarrer automatiquement, mais, pour l’heure, des activités manuelles sont requises pour les mettre en
marche. Cela pose problème avec la fluidité du trafic des rames sur la ligne.
Les travaux liés à la mise en service du métro de Rennes ont, comme de nombreux autres projets, été mis à mal par la
crise sanitaire. Des problèmes d’approvisionnement ont en effet affecté l’avancement du chantier. Comme pour de
nombreux autres secteurs, la pénurie de certains composants, notamment électroniques, a ralenti la mise au point de
ce système technologiquement avancé.
De même, les restrictions de déplacements engendrées par la crise du Covid-19, aussi bien à l’intérieur de la France
qu’à l’international, ont eu un effet négatif sur le chantier. Certains experts internationaux qui devaient venir en
personne afin d’identifier les raisons des problèmes rencontrés se sont ainsi retrouvés dans l’impossibilité de se
déplacer*. Le “retour à la normale” que nous connaissons actuellement en France devrait ainsi permettre de résoudre
ces problèmes plus rapidement.
Ligne B du métro de Rennes : quels enjeux ?
Le projet urbain que représente la mise en service de la ligne B du métro a de nombreux enjeux pour la ville de
Rennes, notamment en termes de mobilité des résidents. Le métro répond également à des problématiques
environnementales chères à la mairie écologiste de la ville de Rennes, celui-ci offrant une alternative à la
voiture.
Ligne B du métro de Rennes : une prouesse technologique
C’est le tout nouveau modèle “Cityval” du constructeur Siemens qui a été choisi par la ville de Rennes pour enrichir
l’offre de transport du réseau de la STAR. C’est à la fois une aubaine pour Siemens, qui peut inaugurer un nouveau
modèle avant de le commercialiser ailleurs, et pour Rennes, qui se présente comme une ville moderne et innovante.
C’est aussi une des raisons derrière le retard du projet.
Ce système entièrement automatique sera supervisé
par un poste de commande centralisé, à Chantepie. La fréquence entre les différentes rames sera d’environ 150
secondes, et pourra être réduite à 67 secondes pendant les heures de pointe. La vitesse de croisière du métro sera
d’environ 67 km/h. Les rames seront, au départ, composées de deux voitures. Une troisième pourra être ajoutée
lorsque plus de 9000 personnes seront transportées par heure et par direction.
Ligne B du métro de Rennes : une alternative à la voiture
La mairie écologiste de Rennes mène une politique visant à réduire la part d’usage des mobilités
carbonées au profit des mobilités
douces telles que le vélo et les transports en commun. Un des objectifs de la ligne B est ainsi de désaturer
certains axes utilisés par les bus en centre-ville, et de réduire davantage la circulation automobile. Celle-ci
avait déjà diminué de 20 à 30% dans le centre lors de la mise en service de la ligne A du métro.
Au total, ce sont 94 000 voyages par jour qui sont attendus sur la ligne B dans un premier temps. Cela permettrait
d’éviter environ 50 000 trajets en voiture dans la Métropole. De même, la construction même du projet se veut
respectueuse de l’environnement. Des panneaux photovoltaïques ont notamment été installés sur le toit du garage
atelier et des deux terminus, Saint-Jacques-Gaîté et Cesson-ViaSilva. Le dispositif de freinage des rames émet
également moins de particules fines et permet de récupérer une partie de l’énergie électrique utilisée par le
métro*.
Ligne B du métro de Rennes : des enjeux de mobilité
Les enjeux de la mise en place de la ligne B du métro à Rennes sont gigantesques. La ville de Rennes compte 217 728
habitants, selon le dernier recensement effectué par l’INSEE, en 2018. Avec la mise en place de la
ligne B, 75% des habitants de la ville se
trouveraient à moins de 10 minutes à pied d’une station de métro. Avec seulement 21 minutes de temps de trajet entre
les deux terminus, les déplacements du quotidien se verront grandement facilités.
Ce moyen de transport devrait notamment être très populaire auprès des jeunes de moins de 30 ans, qui représentent
50% de la population de la ville. 91% des étudiants pourront rejoindre directement leur lieu de formation grâce à la
ligne B. De même, cette nouvelle ligne devrait également permettre de rejoindre plus facilement
Saint-Jacques-de-la-Lande et Cesson-Sévigné, d’importants bassins d’emploi de la Métropole.
Ligne B du métro de Rennes : investir dans les secteurs prochainement reliés
Grâce à la ligne B, certains secteurs de la Métropole seront beaucoup mieux reliés au centre de l’agglomération. Ils
seront donc beaucoup plus attractifs auprès de potentiels locataires dans le cadre d’un investissement locatif.
C’est notamment le cas des communes de Saint-Jacques-de-la-Lande et de Cesson-Sévigné, ainsi que des environs du
campus Beaulieu.
Bientôt desservie par un des terminus de la ligne B du métro de Rennes, Saint-Jacques-Gaîté,
Saint-Jacques-de-la-Lande est une des
communes les plus attractives de la Métropole. C’est elle qui abrite notamment l’aéroport Rennes-Bretagne. Son
territoire accueille également l’usine du constructeur automobile Stellantis, ex-PSA, qui est le plus grand
employeur de Bretagne.
En plus de constituer un bassin d’emploi important porté par une activité économique dynamique,
Saint-Jacques-de-la-Lande bénéficie d’un environnement verdoyant et bucolique. Elle est notamment entourée par le
parc de la Morinais et les gravières du Sud de Rennes. Le terminus du métro prend place au Nord de la commune, et
comportera un parking-relais. Il sera également joignable grâce à de nouveaux aménagements cyclables.
Investir à Cesson-Sévigné
De l’autre côté de la ligne B, Cesson-Sévigné est un des autres grands bassins d’emplois de Rennes Métropole. Son économie est
résolument tournée vers les nouvelles technologies et le secteur de la télécommunication, avec des entreprises comme
Claranet. Pour l’anecdote, dans les années 70 et 80, la ville a joué un rôle important dans la création du Minitel.
La ville est en expansion constante depuis les années 80, avec l’élargissement progressif de sa zone d’activités.
Traversée par la Vilaine, elle dispose, elle aussi, d’un environnement agréable, grâce à de nombreux espaces verts
propices à la détente, comme le parc de Bourgchevreuil. Elle abritera l’autre terminus de la ligne B du métro, qui
disposera, lui aussi, d’un parking-relais.
En vue de réaliser un investissement locatif à destination des étudiants, le quartier de Jeanne d’Arc – Longs-Champs – Atalante – Beaulieu est particulièrement indiqué. Réputé pour ses universités et ses grandes écoles, il sera bientôt desservi
par trois stations de la ligne B du métro de Rennes. Une d’entre elles, Beaulieu – Université, sera située en plein
cœur du campus Beaulieu, au Sud du restaurant universitaire.
Outre sa population estudiantine et sa proximité avec le centre-ville, ce quartier rennais offre un cadre de vie
agréable, notamment grâce à de nombreux espaces verts. On y trouve notamment le parc des Gayeulles, le parc de
Maurepas et les étangs des Longs-Champs. Avec un marché immobilier dynamique et la construction de programmes
immobiliers neufs, les possibilités d’investissement en studio et en résidence étudiante y sont nombreuses.
Actu.fr - La ligne B du métro à Rennes n’ouvrira finalement pas fin mai
2022
20 Minutes – Rennes
Le Parisien – Stations terminées mais rames retardées
EPL – Un métro innovant et responsable
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