*Document non contractuel. Voir conditions en agence
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Notre comparatif neuf/ancien
Un jeune couple souhaite devenir propriétaire d’un T3 situé en zone A.
Ils possèdent 1 850 € de revenus chacun et un RFR de 35 000 €
Acheter un logement neuf
T3 330 000 €
Frais de notaire 6 600 €
Apport de 10% 36 000 €
Cuisine 5 000 €
Coût total
336 600 €
Emprunt
307 600 €
PTZ
112 500 € à 0%
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 271€/mois
Acheter un logement ancien
T3 260 000 €
Frais de notaire 20 800 €
Apport de 10% 28 000 €
Coût total
280 800 €
Emprunt
252 800 €
PTZ
Non éligible
Taux
3,20%
Durée
25 ans
Assurance
0,25%
Mensualité
1 278€/mois
*Document non contractuel. Voir conditions en agence
Malgré un prix d’acquisition plus bas pour un bien ancien, la mensualité reste identique à celle d’un logement neuf : alors pourquoi ne pas investir dans un bien neuf et profiter de ses nombreux atouts, tels que des frais de notaire réduits, de meilleures performances énergétiques et des garanties constructeur pour un investissement sécurisé et durable ?
En 2019, le marché immobilier était au beau fixe, enregistrant une croissance record des prix. Afin de remédier à ce qui se présente comme un inconvénient pour de nombreux acheteurs aux revenus modestes, Virgil, une start-up parisienne, se propose de mettre en place un dispositif unique. En effet, malgré des taux d’emprunt encore relativement bas en ce début 2020, la hausse des prix ainsi que le manque d’un apport suffisant sont des obstacles difficiles à franchir pour les ménages souhaitant accéder à la propriété.
« Le pouvoir d'acheter a diminué ces dernières années, mais c'est davantage la faute aux conditions d'accès à l'apport plutôt qu'aux conditions d'accès à l'emprunt », analyse Saskia Fiszel.
L’entreprise Virgil propose donc d’accompagner les nouveaux investisseurs en leur faisant bénéficier d’un apport dont le montant pourra s’élever jusqu’à 100.000 euros, soit 20% du prix de vente du logement souhaité. Un tel soutien pourrait permettre à de nombreux futurs acquéreurs d’accéder à la propriété, voire d’investir dans des logements plus grands (jusqu’à une pièce supplémentaire). La contrepartie ? La start-up deviendrait copropriétaire d’une partie du logement pendant une durée de dix ans. Suite à cette période, l’investisseur pourrait racheter sa part à l’entreprise, pour devenir seul propriétaire de son logement. Si le bâtiment venait à être vendu avant l’échéance, Virgil récupérerait l’argent correspondant à sa part du bien.
Avant le lancement du concept sur le terrain, c’était près de 500 dossiers de candidature qui étaient à l’étude. Virgil a déjà récolté 2,1 millions d’euros, suscitant l’intérêt des investisseurs. Un engouement très prometteur pour la jeune start-up.
Un Pinel breton
Après plusieurs mois de négociations entre le Gouvernement et la Région Bretagne (qui s’était notamment vue promettre l’arrivée de la fibre optique sur son territoire), une expérimentation a finalement été actée. Désormais, les villes bretonnes de Saint-Malo et Rennes n’auront plus l’exclusivité du dispositif Pinel. Un amendement a été adopté en ce sens, lors du débat sur le projet de loi de finances tenu en novembre 2019 à l’Assemblée nationale. Une expérimentation permettra ainsi à d’autres villes bretonnes de bénéficier de ce dispositif d’aide à l’investissement locatif, jusque fin décembre 2021.
Les zones d’applications de la loi Pinel bretonne
Roman Babakin / Shutterstock
La détermination des nouvelles zones d’éligibilités à la
loi Pinel en Bretagne fonctionne selon la méthode du cas par cas. Effectivement, un arrêté préfectoral a permis de recenser l’ensemble des communes sujettes à ce dispositif exceptionnel et distinguer les zones éligibles quartier par quartier. Dès lors, seuls les territoires où une offre de logement est insuffisante et où des besoins importants en logements intermédiaires sont apparents pourront profiter de ce dispositif exceptionnel.
Les villes bretonnes pouvant bénéficier du dispositif Pinel
Le président du Conseil régional Loïc Chesnais-Girard l’affirme : « Les maires pourront signer leurs permis courant mars ». Cette bonne nouvelle ne concerne pas moins d’une douzaine de communes :
Brest,
Lorient,
Vannes,
Quimper,
Saint-Brieuc
Liffré,
Lannion,
Auray,
Bain de Bretagne,
Vitré,
Fougères
Melesse.
Une mesure qui permettra de redynamiser le marché immobilier local, dans des villes présentant une importante demande en logements intermédiaires. Grâce au dispositif Pinel, des investisseurs pourront maintenant profiter dans ces agglomérations d’une défiscalisation, après avoir investi des fonds pour les placer dans des programmes immobiliers locatifs.
L’impression 3D
L’impression 3D commence à être de plus en plus utilisé dans le secteur de l’immobilier. Pour l’heure, cette méthode de construction de logement est encore relativement peu répandue, les architectes et l’ensemble des professionnels de la construction immobilière ont de plus en plus recours à l’impression 3D. Ainsi, des maquettes et des éléments de projets peuvent être imprimés en 3D puis présentés aux promoteurs ou encore aux investisseurs.
terng99 / Shutterstock
Une tour de 9,5 mètres imprimée en 3D à Dubaï
En octobre 2019, le plus grand bâtiment 3D jamais construit voyait le jour à Dubaï. Ce qui sert aujourd’hui de bâtiment administratif se répartit sur deux niveaux, pour une surface totale de 640 m² et une hauteur de 9,5 mètres. Un record, quand on sait que l’édifice a été réalisé en à peine trois semaines, en comptant sur une équipe de 3 personnes et un robot multi-axes, déplacé au fur et à mesure par le biais d’une grue. L’ensemble se constitue d’un mélange de béton et de gypse. C’est la start-up américaine Apis Cor qui a mené le projet.
Des conditions extrêmes pour la construction
Si le bâtiment a pu être construit aussi rapidement, c’est grâce à un long travail de préparation mené en amont. Les équipements, la technologie et le matériel d’impression 3D ont en effet dû être adaptés pour pouvoir fonctionner dans les conditions climatiques locales (humidité ambiante, chaleur extrême). Les murs des 2 niveaux ont ensuite été imprimés en 3D, mais les fondations, les fenêtres et les toits ont, eux, été mis en place par méthode traditionnelle (notamment en raison des risques sismiques). Des barres d’armatures et de béton ont enfin été installées manuellement pour renforcer la structure globale.
Une technologie d’avenir
L’impression 3D semble une technique particulièrement prometteuse pour le secteur du BTP, même si elle n’en est pour l’instant qu’à ses débuts. L’entreprise travaille à la fabrication d’un géopolymère qui n’utiliserait pas du ciment mais des substituts organiques comme liant. L’objectif ? Perfectionner puis démocratiser l’impression 3D. Comme l’explique la CEO et fondatrice d’Apis Cor, Nikita Cheniuntai : « La version améliorée sera plus fiable et plus rapide (deux fois plus rapide) ». Sont d’ailleurs déjà prévus deux nouveaux projets d’impression de bâtiments en 3D, en Louisiane et en Californie.
SOURCES
Bretagne. Le retour du dispositif Pinel d’aide à l’investissement locatif - Ouest-France
LF 2020 – Recentrage du dispositif « Pinel » et expérimentation en Bretagne - Actualités du droit
Immobilier : la start-up Virgil fournit l'apport aux primo-accédants - Capital
La Fintech Virgil lève des fonds pour séduire les primo-accédants - La Tribune
Pinel. Rennes et Saint-Malo ne seront plus les seules à en profiter - Telegramme
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